Carius et Bactus

 

Carius et Bactus

Auteur : Torbjørn Egner
Traduction : Traduit du norvégien par François Marchetti
Illustrations par l’auteur -
Titre original : Karius og Baktus, 1958 -
28 illustrations en couleurs, 2 chansons -
1ère édition : 1991
ISBN : 978-2-88329-005-9
Format : 14 x 20,5
Pages : 41
Prix : 14.00 €

PRIX INTERNATIONAL DÉCERNÉ PAR DES ASSOCIATIONS DE DENTISTES DE DIX PAYS

Traduit en 25 langues et vendus à 3 millions d’exemplaires dans le monde, ce livre est devenu le plus grand best-seller norvégien pour la jeunesse.

Résumé du livre : Deux petits bonshommes, invisibles à l’œil nu, habitent des maisons creusées dans les dents de Jean, un petit garçon qui mange trop de sucreries et ne se brosse jamais les dents. Leurs ennuis commencent le jour ou Jean doit aller chez le dentiste.

La télévision :
Présenté dans le journal de TF1 MATIN le 13 octobre 1993 par Jean Offredo.

La presse :
« CARIUS ET BACTUS vivent heureux dans la bouche du petit Jean. Grassement nourris de sucre, ils ont creusé de charmantes petites maisons d’une dent à l’autre et s’amusent à faire souffrir quelques nerfs bien dodus. Evidemment, la fête est interrompue par la monstrueuse Roulette puis par l’épouvantable Brosse à Dents. Malicieusement illustré par l’auteur, ce conte a remporté le plus éclatant succès dans les pays scandinaves. »

Armelle Godeluck
J.-M. de Montrémy
Lire, n° 202-203, Eté 1992

« Découverte norvégienne chez Esprit Ouvert avec Carius et Bactus de Torbjørn Egner. Histoire qui parvient, certes, en France avec quelque retard puisque publiée en 1958, mais qui a gardé tout son charme. Histoire de deux petits bonshommes qui ont élu domicile dans la bouche d’un jeune garçon répondant au prénom de Jean. Histoire qui n’a pas vieilli (ou bien était-elle en avance à l’époque de sa parution ? par son graphisme en particulier) et ce pas seulement parce que son message (le livre pour enfants se voulant alors plus « instructif » et didactique que de nos jours, encore que…) reste d’actualité. Au fait, un tel livre ne pourrait-il pas être remboursé par la Sécurité sociale ? Pourquoi ? me direz-vous. Il suffit de lire pour comprendre, si vous n’avez pas déjà une petite idée… »

Denis Ballu
L’Année scandinave, 1992